
La jeune femme de 31 ans a expliqué à nos confrères du Figaro ce qu’elle a qualifié de « fulgurant ». Premièrement, elle a confirmé que son intervention était indépendante de la volonté des organisateurs. Bien sûr, elle était invitée, mais ses « croquis » n’étaient pas du tout prévus par Antoine de Cornes. « J’ai été invité et mon partenaire et moi sommes entrés normalement. J’étais sûr que j’allais être mis sur la mezzanine, pensant qu’on se méfierait de la pénétration de Mary, d’ailleurs, j’ai compris. Quand j’ai vu que j’étais en bas, j’avais raison Se disant, il fallait que j’essaye quelque chose, expliqua-t-elle, c’est mon métier, ma marque de fabrique.
« Mary Infiltrate » plaide avec la folie soudaine. » Je voulais juste mourir ! Je n’ai vraiment pas regardé le visage, j’ai fixé un point et j’ai attendu que ça passe ! Enfin, je me sentais bien. C’était prémédité. » Parce que j’ai récité le verset. Cependant, c’est une tirade que j’ai écrite et expliquée.
J’ai envie d’offrir mes fesses pour un bon débouchage de fesses « Marie s’infiltre »
Quant au contenu, Marie s’infiltre avoue qu’il n’a pas de message particulier autre qu’un certain appel à l’absurde et à la lumière des médias. « Je voulais offrir mes hanches pour se détendre, et elle l’a prouvé. Les Césars étaient coincés, super saillants, et c’était dommage. » La séquence est loin d’être cohérente, mais Mary Penetration affirme essayer au moins de faire rire les gens. « Je ne pense pas que je sois gêné. (…) Même si le sketch n’est pas mauvais, on s’en fout, c’est amusant ! On est là pour rire. Je suis fier de le faire. C’est une liberté de action. , il faut beaucoup de courage.
Peut-être un « acte de liberté », mais « Mary Infiltrate » rejette une interprétation politique de ses actions dans leur ensemble. « C’est vrai que ce printemps comique [baring hip] n’était pas un pet. J’aurais pu trouver mieux. Mais que pouvais-je faire d’autre ? Des trucs politiques comme ça ont fait 20 000 par intermittence