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« J’ai moins peur de la maladie grâce à ce film »: dans « A Beautiful Morning », Mia Hansen-Løve s’engag

Article rédigé par ; Dailymotion.
Relayé sur maires-martinique.org le 5 November 2022 à 21h54:

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« J’ai moins peur de la maladie grâce à ce film »: dans « A Beautiful Morning », Mia Hansen-Løve parle avec émotion de son histoire familiale Pour son huitième long métrage, dans les salles du mercredi 5 octobre, la directrice française dirige Léa Seydoux, Melvil Poupaud, Nicole Garcia et Pascal Greggory dans un film inspiré de sa propre famille. Elle nous raconte comment la rédaction d’un scénario sur la maladie de son père s’est imposée à elle. Ademine de films avec des accents autobiographiques, Mia Hansen-Løve a écrit et centré son huitième long métrage sur la maladie dégénérative qui a vu son père disparaître progressivement. Un Beau Matin est composé d’un double complot, mélangeant le drame de la fin de la vie et la passion d’une affaire interdite. « Une façon de montrer que la vie peut parfois nous confronter avec des situations très opposées », commente le réalisateur de 41 ans, qui a présenté son film pour la première fois en mai à la quinzaine des réalisateurs du Festival de Cannes. Entretien. Culture de Franceinfo: « Un Beau Matin » s’adresse aux affres et à la tristesse de la maladie tout en mettant en scène la renaissance et le bonheur de l’amour. Pourquoi avez-vous choisi cette double lecture? Mia Hansen-Løve: Je ne pourrais jamais faire un film qui n’allait que du côté obscur de la vie. Ce film essaie de signaler avec lucidité et transparence ce qui est tragique et irrémédiable dans la maladie, et la souffrance qui en résulte. Mais sa prise de conscience est devenue possible quand une autre idée est venue rencontrer celle-ci. Cela vient de l’observation de la vie, qui ne fait que s’incline d’un côté. La vie peut parfois sembler entièrement sombre ou cruelle, mais il y a toujours quelque chose qui nous surprend. C’est ce qui m’a intéressé et m’a inspiré. Certains cinéastes aiment conduire les téléspectateurs dans le malheur, parfois avec de très forts résultats. Mais moi, ce ne sera jamais mon projet de cinéma. Vous racontez fréquemment des étapes de votre propre histoire à travers vos films. Comment est née la nécessité de mettre en scène la maladie dégénérative de votre père? Je devais accepter l’idée que je ne pouvais pas aller de l’avant sans reprendre ce sujet. C’est comme si quelque chose avait sur mon chemin. Quand je me suis projeté dans le futur, sur ce que je voulais écrire, il y avait quelque chose qui s’était imposé, qui est revenu, ce qui m’a hanté. Je ne pouvais pas le couper. Il y a des films que j’ai décidé de faire, que je voulais, comme Norman Island ou Eden, puis il y a des films qui s’étaient imposés à moi, comme celui-ci. « Il y a une émotion à Léa Seydoux qui n’est jamais artificielle. Vous êtes-vous retrouvé à travers l’interprétation de Léa Seydoux? Il y a une grande force à Léa. Elle incarne à la fois une présence éminemment féminine et en même temps, il y

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