Bruins, à la poursuite d’un dossier lointain de ch

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Il n’y a aucune chance dans la vie, et Jim Montgomery, l’entraîneur des Bruins de Boston, est là pour nous le rappeler. Montgomery, un gars Montréal, expliqué mardi matin au Bell Center que parmi ses meilleurs souvenirs hockey, il y a la finale 1976, lorsque le Canadien battu les Flyers Philadelphie. C’est également au cours la saison suivante, celle de 1976-1977, que le Canadien n’a subi que huit défaites , un record qui est toujours dans le livre la LNH. Le hasard est que Montgomery soit le chef d’un club qui apparaît mardi soir au Bell Center, un club qui n’a subi que cinq défaites depuis le début de cette saison … « Je me souviens cette équipe du Canadien de 1976-1977, et je parle toujours Scotty Bowman assez souvent … mais nous ne nous sommes pas parlés dans un mois, donc c’est peut-être à cause cela que ce n’est plusrépond mes appels! »» Nous ne savons pas si l’ex-entraîneur du Canadien est nerveux en voyant la feuille des Bruins cette saison, mais dans le camp de Bostonnais, nous assurons que le record des huit défaites n’est pas un grand sujet de discussion. « Nous n’y pensons pas », a répondu le capitaine Patrice Bergeron. Ce n’est pas quelque chose qui est un sujet de discussion pour nous en interne., et nous n’en avons même pas parlé. Nous restons à l’époque, et c’est un groupe spécial, mentalement. Ce sont des gars motivés, il y a un corps qui est très fort, alors nous nous concentrons dessus pour continuer à s’améliorer. Sans retirer quoi que ce soit du CH dominant des années 1970, Jim Montgomery voulait se rappeler qu’un tel record est pratiquement impensable dans le hockey moderne, où les défis peuvent être un peu plus nombreux. « De nos jours, il y a trois matchs de quatre matchs sur la route », a ajouté le pilote des Bruins. C’est la réalité.Cette ligue doit faire face à ces défis. Donc, seulement huit défaites en une saison, je pense que ce serait vraiment un record difficile à égaler. Jim Montgomery ne veut certainement pas comparer son groupe à la dynastie Montréal des années 1970, mais il voit au moins quelques similitudes, qui permettent à son club d’obtenir les succès que nous connaissons. « Je pense que nous avons une formation très talentueuse autant en défense et en attaque, pour conclure l’entraîneur québécois. Le Canadien avait trois grands défenseurs, il y en a deux.Pense d’abord à la défense, les autres le suivent et la transition offensive n’est pas mal plus naturelle.